Éterville
Éterville | |
L'église Saint-Jean-Baptiste. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Caen |
Intercommunalité | Caen la Mer |
Maire Mandat | Thierry Saint 2020-2026 |
Code postal | 14930 |
Code commune | 14254 |
Démographie | |
Gentilé | Étervillais |
Population municipale | 1 604 hab. (2021 ) |
Densité | 329 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 08′ 38″ nord, 0° 25′ 31″ ouest |
Altitude | Min. 12 m Max. 78 m |
Superficie | 4,87 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Caen (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Caen-5 |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
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Éterville est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 604 habitants[Note 1].
Géographie
Éterville se situe dans la banlieue de Caen à 8 km de la ville.
Verson | Bretteville-sur-Odon | Louvigny |
Fontaine-Étoupefour | Louvigny | |
Fontaine-Étoupefour | Maltot | Maltot |
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Normandie et Climat du Calvados.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 748 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Carpiquet à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
Typologie
Au , Éterville est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78 %), zones urbanisées (14,7 %), prairies (7,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Estarvilla en 1066[13], Starvilla en 1082 ; Estarvilla en 1086 ; Estarville en 1371 ; Estervilla au XVe siècle ; Estreville en 1484[14].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville (au sens ancien de « domaine rural », vile en ancien français cf. vilain « paysan du Moyen Âge »), dont le premier élément Étre- représente un anthroponyme[13] conformément le cas général.
La proposition d'Albert Dauzat de voir dans le premier élément le nom de personne germanique continental Asthar n'est pas soutenue par les formes anciennes, il ne cite d'ailleurs pas la forme Starvilla[13]. Il convient de proposer l’anthroponyme scandinave Starr qui s'accorde mieux avec les formes anciennes et par la localisation d’Éterville dans une zone de diffusion de la toponymie norroise[15]. On retrouve ce nom de personne dans les noms de lieux danois Starup et anglais Starston.
Histoire
Dès l'âge de fer...
La présence d'occupation humaine sur la commune d'Éterville est attestée par des découvertes archéologique. Une nécropole a même été découverte et a fait l'objet de fouilles sur plusieurs années. Ce travail a permis d’établir une fréquentation sur près de trois siècles (entre le milieu du VIe et le milieu du IIIe siècle avant notre ère). Une dizaine de sépultures ont été identifiées[16] recelant notamment des fibules et des torques filiformes du second âge du fer de l’aire celtique. Ce qui est désormais dénommé « la nécropole d'Éterville », se situe sous le lotissement le Clos des Lilas.
Une présence durant la période gallo-romaine est également attestée par la découverte de poteries (tel le vase d'Éterville) ; la commune est à proximité immédiate de Vieux-la-Romaine.
À la fin du XIXe siècle
En 1866[17], un violent incendie ravage le centre du bourg d’Éterville détruisant plusieurs maisons dont la fabrique de tonneaux. Ce n’est qu'en 1877 qu’il est accordé à la fabrique d’Éterville, par autorisation ministérielle, le droit d’être dotée de cloches d’alarmes en cas de sinistre[18]. Or en 1883, un nouvel incendie se déclare dans la commune alors qu’il n’y a pas de sapeurs-pompiers ni de secours à Éterville[19].
En 1886, à la suite d'une défection du maire d’Éterville, c’est le curé qui est désigné adjoint au maire (en l'absence du maire, le cachet de la mairie est déposé chez le curé, qui se trouve ainsi élevé à la dignité d'adjoint)[20].
En juin 1901, le comte de Bourmont obtient une concession de mines de fer sur le territoire des communes d’Éterville, mais aussi de Louvigny, Maltot et Feuguerolles[21].
En janvier 1929[22], le conseiller général du canton accorde à Éterville un arrêt d’autobus (sur la ligne reliant Caen à Hamars en passant par la grande route jusqu’à Sainte-Honorine, puis par Évrecy, le Bon Repos, Esquay, Vieux, Maltot. Cela désenclave la commune.
En mai 1936, M. l'abbé Niess, curé d'Éterville, découvre enterrées sous les autels latéraux du chœur[23], deux statues de la Vierge à l'Enfant du XVIIe siècle.
En 1936, la commune n'est peuplée que de 212 habitants, elle est alors constituée de plusieurs grosses fermes, d’un château et d’une église mais aussi de quelques débitants et ateliers le long de la route menant à Évrecy et d’un carrefour routier important, au niveau du lieu-dit l’Intendance.
1944 : bataille de Caen
Lors de la bataille de Caen, l'opération Jupiter (10 et ) tentait en vain de conquérir la colline 112 (située entre Orne et Odon), Fontaine-Étoupefour, Éterville et Maltot.
Au matin du , les Britanniques de la 43e division d'infanterie partent de Fontaine-Étoupefour en direction d'Éterville et de la cote 112. À 6 h 20, le lance Corporal Butt sonne la charge au clairon déclenchant l'assaut du 4e Dorset sur Éterville ; après l'assaut initial, on dénombre 13 tués dont un officier et 110 blessés[24]. Dans la continuité, les combats pour « nettoyer » la ville sont « un cauchemar »[25] au dire du commandant du 4th Dorsetshire. En effet, la ville était alors défendue par des éléments composites des Waffen-SS et de la 10e division SS Frundsberg. Le château d'Éterville, alors hôpital de campagne allemand, est épargné par les obus. L'église d'Éterville est en partie détruite au niveau de sa nef et le PC du régiment creusé dans l'allée du cimetière[26]; témoignages de cette présence, des graffitis de soldats occupants les lieux sont encore visibles sur les murs de l'église.
Les combats durent toute la journée du , maison par maison et après avoir pris Éterville, les troupes du 4e régiment du Dorset se lancent à l'assaut de Maltot qu'ils prennent après de lourdes pertes. Finalement, 348 soldats anglais sont perdus durant toute cette journée[27].
Le lendemain , une violente contre-attaque allemande repousse les soldats britanniques depuis Maltot jusqu'à Éterville que les hommes du Wessex doivent désormais défendre, relayés par le 9th Cameronians, une grande confusion règne alors « de nombreux morts pourrissant au soleil et des blessés gisant un peu partout dans le village lourdement bombardé, remplis de chenillettes et autres véhicules en flammes »[28].
Les combats ne s'y achèvent que le soir du sans gain véritable de territoire alors que les britanniques régiment doivent en partie abandonner la commune. Une guerre de position s’établit alors où Éterville se situe sur la ligne de front que défend la 1re division SS Leibstandarte SS Adolf Hitler.
Ce n'est qu'avec l'opération Atlantic que mènent les canadiens conjointement à l'opération Goodwood, que la commune d'Éterville est définitivement libérée le par les Royal Regiment of Canada.
La reconstruction
Les terribles combats pour la prise de la cote 112 visant à encercler Caen ont finalement détruit une bonne partie de la commune[29] et notamment son église où l'on s'est battu au corps-à-corps[30].
En , la ville est toujours sinistrée et les habitants d'Eterville dressent alors une pétition[31], signée par l'ensemble de la population, afin de retrouver un lieu de prière puisque l'église a été détruite durant les furieux combats de l'été dernier. Une chapelle est alors aménagée dans un baraquement.
Ce n’est qu’en que les relations postales sont rétablies à la suite de la réouverture de l’établissement de receveur distributeur de Maltot[32].
La ville va connaitre un développement urbain mesuré jusqu'à l'arrivée du périphérique en 1997. À partir de cette date, désormais « porte du périphérique » (sortie 10 Éterville) et de facto reliée directement à la ville de Caen, Éterville ne va cesser de croitre faisant l'objet d'une politique de construction rationnelle visant à faire perdurer le côté "village" de la commune. Une zone d'activité est progressivement développée au lieu-dit l'Intendance.
Éterville dispose d'une mairie, une salle polyvalente (salle des fêtes), une école primaire et maternelle, une bibliothèque, une église, un bar - bureau de tabac.
Politique et administration
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1989[33] | mars 2008 | Carmelle Catteau | ||
mars 2008[34] | mars 2014 | Paul Ragot | ||
mars 2014[35] | En cours | Thierry Saint[36] | SE | Contrôleur de gestion |
Les données manquantes sont à compléter. |
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].
En 2021, la commune comptait 1 604 habitants[Note 3], en augmentation de 1,52 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
246 | 236 | 153 | 241 | 245 | 264 | 266 | 268 | 265 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
282 | 281 | 256 | 244 | 259 | 242 | 225 | 219 | 200 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
174 | 202 | 200 | 163 | 183 | 193 | 212 | 160 | 232 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
307 | 319 | 378 | 493 | 766 | 1 043 | 1 312 | 1 351 | 1 389 |
2017 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 631 | 1 604 | - | - | - | - | - | - | - |
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Économie
Lieux et monuments
- L'église Saint-Jean-Baptiste d'Éterville comprend sur le mur Sud deux plaques inaugurées en 1984 en l'honneur des "8th Reconnaissance Regiment" et du "Royal Regiment of Canada" qui ont libéré la ville le .
- Château privé du XVIIe de la marquise de Croismare, monument historique avec dépendance du XIXe siècle et parc d'une superficie totale de l'ordre de 13 hectares
Activité et manifestations
- Une foire au grenier est organisée chaque année.
- Des cours de tennis de table sont aussi dispensés dans la salle polyvalente.
Personnalités liées à la commune
- Louis François Pierre Louvel de Janville (-), ancien maire de Caen, bienfaiteur, né à Paluel et mort à Éterville.
Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
- Éterville, sur Wikimedia Commons
- Éterville, sur le Wiktionnaire
Liens externes
- Inventaire des archives communales sur le site des Archives départementales du Calvados
- Résumé statistique d'Éterville sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- ↑ Population municipale 2021.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- ↑ GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- ↑ « Orthodromie entre Éterville et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Caen-Carpiquet » (commune de Carpiquet) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Station Météo-France « Caen-Carpiquet » (commune de Carpiquet) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- ↑ a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Caen », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- ↑ a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 276a
- ↑ Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados, Paris, 1883, p. 108 [1]
- ↑ Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 110b
- ↑ Ivan Jahier, Karine Chanson, Agnès Hérard(avec la collaboration de Sylvie Pluton-Kliesch, Pour une typo-chronologie des torques filiformes en Basse-Normandie Les assemblages des Ve – IIIe siècles av. J.-C. de la nécropole d’Éterville/Le Clos des Lilas(Calvados), (lire en ligne)
- ↑ Le Bonhomme Normand, Caen, Calvados. Archives départementales, édition 1866 (ISSN 2022-4354), journal hebdomadaire et spécial de tous les événements, bruits et nouvelles du Calvados
- ↑ « journal hebdomadaire et spécial de tous les événements, bruits et nouvelles du Calvados », Le Bonhomme Normand, edition 1877
- ↑ « journal hebdomadaire et spécial de tous les événements, bruits et nouvelles du Calvados », Le Bonhomme Normand, edition 1877 (lire en ligne)
- ↑ Le Bonhomme Normand, Caen, Calvados., (ISSN 2022-4354), journal hebdomadaire et spécial de tous les événements, bruits et nouvelles du Calvados
- ↑ Archives municipales d’Éterville non cotées, Éterville, Mairie d'Éterville,
- ↑ Le Bonhomme Normand, Caen, Calvados. Archives départementales, (lire en ligne), journal hebdomadaire et spécial de tous les événements, bruits et nouvelles du Calvados
- ↑ « Nouvelle d'Éterville », Le Moniteur du Calvados, de l'Orne et de la Manche, (lire en ligne)
- ↑ Albert Grandais, La bataille du Calvados, Presse de la Cité, FeniXX, , 513 p. (ISBN 9782258189669), p. 36
- ↑ Yves Buffetaut, « La bataille de Caen Tome.1 : La côte 112 », Militaria Magazine, no Hors série n°58, (ASIN B084J7J5M6, lire en ligne, consulté le )
- ↑ (en) Tim Saunders, Hill 112, Battles of The Odon—1944, Leo Cooper, (ASIN B0055MCM9K), témoignage de
- ↑ Gérard Fournier, professeur agrégé honoraire, docteur en histoire,, « 75e anniversaire de la libération d’Éterville : nous nous souvenons ! », Le Journal d'Éterville, (lire en ligne)
- ↑ (en) Brigadier-General Richard Villiers, A short History of the 9th Cameronians, In Albert Grandais, opus cit., , p 24
- ↑ Jacques Leullier, Un été 44 : Jacques Leullier raconte sa libération de Caen, Caen, Ouest-France,
- ↑ Georges Bernage, Enfer sur la cote 112, Bayeux, Editions Heimdal, , 160 p. (ISBN 978-2840482505)
- ↑ Liberté - Le Bonhomme libre, Caen, fonds de presse aux Archives du Calvados, 2e semestre 1945, sous-série 13T (cote BH/8/16842/1-5 aux AD du Calvados), "Une chapelle provisoire à Eterville"
- ↑ BELLANGER Claude, « Presse arrondissement de Caen et du Calvados », Le Bonhomme Libre, 2e semestre 1946
- ↑ « Carmelle Catteau ne fera pas de quatrième mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- ↑ « Paul Ragot, élu maire, entouré de ses trois adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- ↑ « Thierry Saint nommé à la tête de la commune », sur Ouest-france.fr (consulté le )
- ↑ Réélection 2020 : « Municipales à Éterville. Thierry Saint réélu maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
Liens externes
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)
v · m | |
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Plus de 100 000 hab. |
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Plus de 10 000 hab. | |
Plus de 5 000 hab. |
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Plus de 3 000 hab. | |
Plus de 2 000 hab. |
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Plus de 1 000 hab. | |
Moins de 1 000 hab. |
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