Christiane Bonnelle

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Christiane Bonnelle
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Fonction
Émérite
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 86 ans)
Saint-CannatVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Christiane Louise RossettosVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Université de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Physicochimiste, professeure d’université, chercheuseVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Influencée par
Yvette CauchoisVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Prononciation

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Christiane Bonnelle (née Christiane Rossettos le dans le 16e arrondissement de Paris et morte le [1] à Saint-Cannat[2],[3]) est une physicienne française et une pionnière de la spectroscopie. Elle a été professeure émérite à l’université Pierre-et-Marie-Curie.

Carrière et Éducation

Elle étudie à la Sorbonne, où elle fait son Baccalauréat et son Doctorat en sciences. Après avoir complété ses études, elle fait un stage au CNRS en 1955 où elle finira par devenir chercheuse[4]. En 1960, elle commence à travailler comme assistante professeure à la Sorbonne et devient professeure en 1967. Sept ans plus tard, elle change d’établissement pour devenir professeure à l’université Pierre-et-Marie-Curie. Elle y sera nommée directrice du Laboratoire de Chimie Physique en 1979. Elle reste à ce poste jusqu’en 1990.

Recherche

Sa recherche sur les interfaces solide-solide crée des développements à propos de la mesure du nanomètre, ce qui facilitera le développement des sondes d’électrons produites par CAMECA[5].

Prix

En 1967, elle reçoit la médaille de bronze du CNRS. Elle est aussi chevalier de l’Ordre des Palmes Académiques.

Publications sélectionnées

  • "Distribution des états f dans les métaux et les oxyde de terres rares", Journal de Physique, 32, C4-230 (1971) with R.C. Karnatak (DOI: 10.1051/jphyscol:1971443). Ce document décrit des observations des états excités.
  • "Analyses par spectroscopie X des distributions 5f de l'uranium dans le métal et UO", Journal de Physique, 35 295-299 (1979) avec G. Lachère (DOI: 10.1051/jphys:01974003503029500). Ce document traite des transitions radioactives sur l’uranium[4].
  • "Resonant X-ray Emission Spectroscopy in Solids", Advances in X-Ray Spectroscopy: Contributions in Honour of Professor Y. Cauchois (Elsevier, 2013).

Références

  1. Disparition de Christiane Bonnelle
  2. État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
  3. Avis de décès de Christiane Bonnelle sur dansnoscoeurs.fr
  4. a et b N Byers et Bernard Hamermesh, « Bonnelle, Christiane »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur CWP, University of California (consulté le ).
  5. Christiane Bonnelle, Guy Blaise, Claude Le Gressus et Daniel Tréheux, Les isolants, Lavoisier, , 364 p. (ISBN 978-2-7430-1792-7, lire en ligne), ix
  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Christiane Bonnelle » (voir la liste des auteurs).

Liens externes

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