François Guinand

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François Guinand
Fonctions
Abbé
à partir de
Professeur titulaire (en)
Biographie
Naissance
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MornantVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
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LyonVoir et modifier les données sur Wikidata
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François Guinand (1814-1900), plus connu sous le nom de l'abbé Guinand, est un professeur français de théologie et de philosophie.

Biographie

François Guinand, né le 16 décembre 1814 à Mornant (Rhône), fait ses études théologiques aux Chartreux de Lyon de 1836 à 1840, est ordonné prêtre le 18 décembre 1840 et, après son doctorat en théologie, nommé professeur de philosophie à l'Institution de Saint-Alban. En 1856, il occupe la chaire d'hébreu à la Faculté de théologie de Lyon dont il devient doyen. En 1881, il est élu délégué des Facultés de théologie catholiques au Conseil supérieur de l'instruction publique que le ministre Jules Ferry a créé en 1880[1].

En complément à son enseignement, il collabore avec un professeur de géologie à la Faculté des sciences de Lyon pour procéder à l'examen critique des textes bibliques dans leur concordance avec la science. Il se comporte comme un botaniste en créant un herbier qui finira au Muséum d'histoire naturelle de Saint-Étienne[1].

Ses études sur la langue des Hébreux, sur l'Origine de l'alphabet[2], sa Monographie du temple de Salomon[3] et son discours de réception à l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon sur l'Intelligence humaine[4] sont publiés dans ses mémoires en 1878.

Il décède dans sa 86e année le 28 juillet 1900 à Lyon.

Notes et références

  1. a et b Paul Rougier, « La vie et les travaux de M. l'Abbé Guinand », Revue du Lyonnais, vol. XXXI,‎ , p. 262 (lire en ligne)
  2. Origine de l'alphabet (lire en ligne)
  3. François Guinand, Monographie du Temple de Salomon par le R. P. Pailloux [compte rendu], Vitte et Perrussel, (lire en ligne)
  4. François Guinand, De l'intelligence humaine: discours de réception à l'Académie de Lyon, Association typographique, (lire en ligne)

Liens externes

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