Gaston Cailleux
Pour les articles homonymes, voir Cailleux.
| Gaston Cailleux  | |||||||||
 Sépulture de la famille Cailleux au cimetière de Saint-Denis | |||||||||
| Contexte général | |||||||||
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| Sport | Voile | ||||||||
| Biographie | |||||||||
| Nom dans la langue maternelle | Gaston Cailleux | ||||||||
| Nationalité sportive | française | ||||||||
| Nationalité | France | ||||||||
| Naissance |  | ||||||||
| Lieu de naissance | Saint-Denis | ||||||||
| Décès | (à 75 ans) | ||||||||
| Lieu de décès | Saint-Denis | ||||||||
| Palmarès | |||||||||
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Gaston Cailleux est un skipper et architecte français né le à Saint-Denis et mort le dans la même ville[1].
Carrière
Gaston Louis Claude Cailleux est né à Saint-Denis le de Zemia Rosa Soyeux[2] et de Alexandre Claude Cailleux (1842-1929) architecte expert et architecte communal de la Ville de Saint-Denis[2]. Il épouse Marie Lucie Quintainne à Saint-Denis le 6 juin 1898[2].
Il apprend l'architecture aux Beaux-Arts de Paris, à l'atelier de son père et à celui des architectes parisiens Paul Sédille, Honoré Daumet et Pierre Esquié[2].
Il dirige notamment les travaux d'aménagement intérieur de l'hôtel de ville de Saint-Denis en 1898[1]. Il résidait au 23, rue des Ursulines[3].
Il cumule plusieurs responsabilités : expert près le Tribunal civil de Pontoise, et le Conseil de préfecture de la Seine; vice-président de la Commission d'hygiène de l'arrondissement de Saint-Denis; membre de la Société centrale des architectes en 1909, et de la Société des architectes modernes[2].
Il participe aux deux courses de classe 0,5 tonneau de voile aux Jeux olympiques de 1900, à bord du Sarcelle. Avec Léon Tellier et Henri Monnot, il remporte la médaille de bronze à l'issue de la première course et se classe quatrième à l'issue de la seconde[4]. Il est trésorier du Yacht Club de France dans les années 1920[1].
Fait officier de l'Instruction publique en 1906, il obtient la croix de guerre 1914-1918 et devient chevalier de la Légion d'honneur le pour ses faits militaires lors de la Première Guerre mondiale comme capitaine de réserve, commandant la première section de munitions d'infanterie du 40e régiment d'artillerie[2].
De 1938 et 1942, il est associé de son fils Jacques Cailleux, lui aussi architecte. Il meurt en 1946[2].
Notes et références
- ↑ a b et c Stéphane Gachet, JO d’été : tous les médaillés français de 1896 à nos jours, Paris, Talent Sport, (ISBN 978-2378153427), p. 19
- ↑ a b c d e f et g « Cailleux, Gaston », sur agorha.inha.fr (consulté le )
- ↑ « Séance du 4 avril 1908 », sur Société française d' Archéologie (consulté le )
- ↑ (en) « Gaston Cailleux », sur olympedia.org (consulté le )
Liens externes
- Ressources relatives aux beaux-arts
: - AGORHA
- Musée d'Orsay
- Ressources relatives au sport :
- CIO
- Olympedia
- Ressource relative à la vie publique :
- base Léonore
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