Maxime Sommeron

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Maxime Sommeron
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Fonction
Maire de Neyron
-
Pierre Racine (d)
Biographie
Naissance
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NeyronVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 85 ans)
5e arrondissement de LyonVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de Neyron (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Maxime Lucien Maurice SommeronVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités
Résistant, homme politique, architecteVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Conflit
Seconde Guerre mondialeVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Officier de la Légion d'honneur‎
Croix de guerre 1939-1945Voir et modifier les données sur Wikidata
Vue de la sépulture.

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Maxime Lucien Maurice Sommeron, né le à Neyron[1] et mort le [2] à Lyon, est un architecte et un résistant français du Camp Didier. Il a été maire de Neyron de 1965 à 1983. Il est enterré au cimetière de Neyron.

Biographie

La mairie de Thil en 2014, conçue par Maxime Sommeron.

Durant la Seconde Guerre mondiale, il est résistant et participe, sous le nom de Max, aux activités du Camp Didier[3]. Il commande la 3e compagnie, formé par des volontaires du maquis de Tramoyes[4].

Architecte de profession, il a réalisé la mairie de Thil dans l'Ain[5], construite en 1965.

Il est élu maire de Neyron en 1965, puis plusieurs fois réélu, il conserve la mairie jusqu'en 1983. En 1969, il est battu à l'élection cantonale du canton de Montluel par Pierre Cormorèche[6].

Il y a une place Maxime-Sommeron à Neyron.

Vie personnelle

Maxime Sommeron est le fils de Joseph Sommeron (boucher de profession) et de Jeanne Coron[1]. Il se marie avec Jeanne Françoise Bernay le à Miribel[1].

Bibliographie

  • Collectif, Almanach du Combattant 1990, Comité national du souvenir de Verdun, (ASIN B00M72P14E)

Références

  1. a b et c « Registre des naissances de Neyron, année 1913, p. 2 / 7 », sur archives-numerisees.ain.fr.
  2. État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
  3. « Bataillon Berthier », Secteur Fortifié du Dauphiné (consulté le ).
  4. Pierre Gouttard, Le sang des ombres : 1939-1945, P. Gouttard, 1992, p. 91, [lire en ligne].
  5. Ouvrage collectif, Richesses touristiques et archéologiques du canton de Miribel : Miribel, Beynost, Neyron, Saint-Maurice-de-Beynost, Thil, , 207 p. (ISBN 2-907656-27-9), p. 193.
  6. « Une élection municipale », Le Monde, .

Article connexe

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Liens externes

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    • AGORHA
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