Thomas Houseago
Naissance | Leeds |
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Nationalité | britannique |
Formation | |
Activités | Artiste visuel, sculpteur |
Mouvement | Art contemporain |
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Maître | Didier Vermeiren |
Représenté par | Hauser & Wirth, Xavier Hufkens (en), Galerie Gagosian |
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Thomas Houseago, né en 1972 à Leeds, est un sculpteur britannique.
Biographie
Entre 1991 et 1996 Thomas Houseago étudie l'art successivement[1] au Jacob Kramer College de Leeds, à Saint Martin's School of Art de Londres où il obtient un B.A. en 1994 et à De Ateliers, à Amsterdam, de 1994 à 1996[2].
Ensuite, il vit, durant huit ans, à Bruxelles avec une femme qu'il a volé en trahissant un de ses copains de l'époque. En 2003 il s'installe, à Los Angelès. Après des débuts difficiles — il travaille comme ouvrier dans le bâtiment — son travail est reconnu lorsque Donald et Mera Rubell, collectionneurs d'art de Miami, achètent, en 2006, plusieurs de ses œuvres.
Il utilise divers matériaux : bois, plâtre, aluminium, béton, bronze... Philippe Dagen estime[3] qu' « Houseago cite explicitement et librement à la fois Brancusi, Zadkine, Giacometti, [les sculpteurs] de la Renaissance et ceux d’Afrique, ceux du néolithique et ceux d’aujourd’hui ».
Sa compagne Muna El Fituri a réalisé un film sur la création d’une de ses sculptures ; Houseago exprime son objectif dans ce film : « je voulais révéler le processus de la création, montrer que la manière dont j’utilise mon corps est la clé de tout »[4].
Œuvres et expositions
Œuvres
- Walking Man, 1995
- Sitting Nude, 2006,
- Serpent, 2008
- Untitled (Egg), 2015
- Somatic Painting (Crowd), 2018
- California, 2018
- Wood Skeleton, Father, 2018
Expositions
- Musée d'art moderne de la Ville de Paris, du au [5], commissaire Olivia Gaultier-Jeanroy
- Debout, collection François ¨Pinault, juin-, Musée des Beaux-Arts de Rennes
- Elgiz muséum Istambul, -
- Weserburg Museum für moderne Kunst, -
Notes et références
- ↑ (en) « Thomas Houseago », sur gagosian.com, s.d. (consulté le )
- ↑ Valérie Oddos, « Thomas Houseago, un sculpteur intense, au Musée d'art moderne de la Ville de Paris », sur culturebox.francetvinfo.fr,
- ↑ Philippe Dagen, « Arts : Thomas Houseago, entre rire, surprise et effroi », Le Monde,
- ↑ Siegfried Forster, « Thomas Houseago: «la sculpture est très précaire» et «almost human» », sur rfi.fr,
- ↑ « Thomas Houseago », sur mam.paris,
Liens externes
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