Toma Barbu Socolescu

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Socolescu.

Toma Gheorghe Barbu Socolescu
Image illustrative de l'article Toma Barbu Socolescu
Toma Barbu Socolescu, vers 1930
Présentation
Autres noms Barbu Socolescu
Naissance
Ploiești, Roumanie
Décès (à 68 ans)
Bucarest, Roumanie
Nationalité Drapeau de la Roumanie roumaine
Mouvement Fonctionnalisme
Activités architecture, architecture industrielle, enseignement universitaire.
Diplôme Architecte diplômé de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris
Œuvre
Réalisations Nombreux bâtiments industriels dont l'usine Pepsi-Cola d'Ovidiu
Distinctions Prix Paul Delaon 1938 - 1re mention; Prix de la Commission d'État de l'Architecture et des Constructions pour une fabrique de conserves à Ovidiu 1964
Entourage familial
Père Toma T. Socolescu
Mère Florica T. Socolescu, née Tanescu
Famille Ion N. Socolescu (grand-oncle); Toma N. Socolescu (grand-père)
modifier 

Toma Gheorghe Barbu Socolescu (né le à Ploiești, Roumanie et mort le à Bucarest, Roumanie) est un architecte roumain, fils de Toma T. Socolescu et petit-fils de Toma N. Socolescu. Fonctionnaliste malgré lui, il devra épouser les directives de la Roumanie communiste.

Biographie

Dessin de Toma Barbu Socolescu (fontaines) - 1re mention au Prix Delaon en 1938.
Dessin de Toma Barbu Socolescu (fontaines) - 1re mention au Prix Delaon en 1938.

Diplômé d'architecture de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris en 1939[1], il est admis en 2ème classe le 10 juillet 1934, il obtient deux 3èmes médailles en construction et dessin ornemental, puis en 1ère classe le 4 novembre 1936, il obtient une 2ème médaille en projet rendu[1]. Toma Barbu Socolescu travaille avant et pendant ses études sur l'architecture intérieure du paquebot transatlantique Normandie en 1932-1935[1],[2],[e 1] au sein de l'atelier de Roger-Henri Expert.

Ses premiers pas, dans les années 1940, se font aux côtés de son père Toma T. Socolescu avec lequel il travaille sur plusieurs projets dans le Judet de Prahova: plans d'un dépôt de locomotives à Ploiești ainsi que les plans de systématisation de Câmpina et Mizil[3],[e 2]. Son premier engagement est celui d'assistant universitaire à l'Institut d'architecture Ion Mincu (Bucarest), dès 1939, une fonction qu'il exercera jusqu'en 1951[1],[2]. Selon sa déclaration dans son dossier d'inscription de la Direction de l'enseignement Supérieur en 1940, Il est alors en service militaire de 12 mois avec le grade de sous-lieutenant dans l'armée roumaine[3].

Il réalise toute la suite de sa carrière dans l'architecture industrielle et des grands bâtiments civils[d 1]. De 1942 à 1945, il est architecte concepteur à la C.A.M ou Casa Autonomă a Monopolurilor al Regatului României[4], fonction qu'il assumera aussi de 1949 à 1951 à l'Institut de Conception et de Construction (IPC). Il devient architecte concepteur en chef à l'Institut de la Conception pour les Constructions Industrielles (IPCI) de 1952 à 1958, tout en ayant une collaboration externe avec le Ministère de l’Économie Locale[5] en 1952. Il poursuit son expertise d'architecte concepteur en chef à l'Institut de la Conception pour les Raffineries Pétrolières ou Institutul de Proiectari pentru Instalatii Petroliere (en:IPIP SA) de 1958 à 1960. Enfin de 1960 à 1967, il exerce en tant qu'architecte conseiller à l'Institut de la conception pour les industries alimentaires (IPIA) ou Institutul de Proiectare al Industriei Alimentare[6],[e 1].

Il termine sa carrière comme Professeur à l'École Technique d'Architecture et de Construction des Villes (Școala Tehnică de Arhitectură și Construcția Orașelor)[7], à Bucarest, de 1967 à 1970[6],[d 1].

Barbu Socolescu réalise de nombreuses constructions industrielles, parmi lesquelles une grande usine de conserve près de Constanța, de 1959 à 1965, site qui hébergera un peu plus tard la première usine Pepsi-Cola du pays[e 2],[d 1].

Peintre, il expose ses aquarelles lors d'une exposition organisée par l'Union des Architectes de la République socialiste de Roumanie en 1954 à Bucarest[6],[e 2].

Toma Barbu fait une carrière plus modeste que ses capacités ne le laissait présager, subissant les persécutions politiques dont sa famille sera victime. La police politique roumaine le surveille pendant une bonne partie de sa carrière, comme elle le fit pour son père. Il est poursuivi pour manifestations hostiles à l'égard de l’État et convoqué plusieurs fois par la Securitate[e 1]. N'étant pas considéré comme dangereux pour le régime, les poursuites n'auront aucune suite[8].

Concours

Dessin de Toma Barbu Socolescu (jardins) - 1re mention au Prix Delaon en 1938.
Dessin de Toma Barbu Socolescu (jardins) - 1re mention au Prix Delaon en 1938.
  1. 1937: Premier prix pour le concours d'esquisse d'un projet de casino pour la rafinerie Astra Română, à Ploiești, co-réalisé avec son père Toma T. Socolescu - Ploiești[2],[e 3].
  2. : 1re mention au concours Paul Delaon - Paris[1].
  3. 1943: Mention au concours du Groupement administratif de la faculté UCEA de Făgăraş[e 4].
  4. 1964: Prix de la Commission d'État de l'Architecture et des Constructions pour une fabrique de conserves de légumes à Ovidiu[d 2],[6],[e 2].

Affiliations

Il sera membre de plusieurs groupements d'architectes :

  • Association des élèves et anciens élèves de l'École nationale et supérieure des Beaux-arts ou Grande Masse de l'École des Beaux-arts depuis 1932[1].
  • Société des architectes diplômés par le gouvernement français (DPLG) à partir de 1939[1].
  • Société des architectes certifiés et Corporation des architectes roumains en 1939[6].
  • Société des architectes roumains de 1939 à 1946[6].
  • Union des architectes de la République socialiste de Roumanie à partir de 1953[6].

Généalogie

La famille Socol de Berivoiul Mare (ro), anciennement partie du territoire de Făgăraș ou Pays de Făgăraș, est une branche de la famille Socol de Munténie (Muntenia), qui a ses racines dans le județ de Dâmbovița. Un 'Socol', grand boyard et gendre de Michel Ier le Brave (1557-1601), avait deux fondations religieuses dans le județ de Dâmbovița, encore existantes, celles de Cornești et Răzvadu de Sus (ro). Il fit construire leurs églises (ainsi qu'une autre église dans la banlieue de Târgoviște). Ce boyard fut marié à Marula, fille de Tudora din Popești aussi appelée Tudora din Târgșor[9], sœur du Prince Antonie-Vodă. Marula fut reconnue par Mihai Viteazul comme sa fille illégitime, issue d'une liaison extra-maritale avec Tudora. Marula est enterrée dans l'église de Răzvadu de Sus, où, sur une dalle de pierre[10] richement sculptée, son nom peut être lu.

Nicolae Iorga, le grand historien roumain et ami de Toma T. Socolescu, père de Barbu, a trouvé des ancêtres Socol parmi les fondateurs de la Ville de Făgăraș au XIIe siècle[b 1]. Vers 1846, cinq frères Socol viennent en Munténie, depuis Berivoiul Mare (ro)[b 2], dans le territoire de Făgăraș.

« Cinq frères ont traversé les montagnes, tous bâtisseurs, venant de la région de Făgăraș, un village au pied des montagnes, Berivoiul mare (ro), où aujourd'hui encore le nom de Socol est répandu, et où l'on dit qu'un de leurs ancêtres serait venu de Munténie, à savoir de la région de Târgoviste, qui est le foyer de la famille Socol, étant jusqu'à aujourd'hui, près de Târgovişte, Valea lui Socol, ainsi que leurs deux églises fondatrices, à Răzvadu de Sus (ro) et à Cornești[a 1],[c 1]. »

L'un de ces cinq frères est le maître architecte Nicolae Gh. Socol (?? - décédé en 1872). Il s'installa à Ploiești vers 1840-1845 et se nomma Socolescu. Marié avec Iona Săndulescu, issue de la banlieue Saint Spiridon (Sfântu Spiridon), il eut une fille (décédée en bas âge) et quatre garçons[a 2],[c 2], d'entre lesquels deux grands architectes : Toma N. Socolescu, ainsi que Ion N. Socolescu (ro). La lignée des architectes se prolonge avec Toma T. Socolescu, fils de Toma N. Socolescu, ainsi que son fils Barbu Socolescu.

l'historien, cartographe et géographe Dimitrie Papazoglu (ro) évoque, en 1891[e 5], la présence de boyards roumains du premier degré à Bucarest, descendants de Socol de Dâmbovița. Enfin Constantin Stan fait également référence, en 1928, à l'origine précise de Nicolae Gheorghe Socol :

« Au pied des Carpates, sur la rive droite du ruisseau du même nom, se trouve la commune de Berivoii-mari (ro), l'un des plus anciens villages du foyer d'Olt. Les habitants sont composés de serfs et d'anciens boyards, et les familles de boyards roumains étaient : Socol, Boyer, Sinea et Răduleț, soldats ayant le privilège de garde-frontière. La famille G. Streza Socol a donné naissance à Nicolae Socol, un architecte diplômé de Vienne, qui a mis pied à terre dans la ville de Ploeşti, avec plusieurs de ses descendants vers le milieu du siècle dernier. Ioan N. Socolescu, architecte de Bucarest et Toma Socolescu[11], architecte de Ploeşti[e 6]. »

Arbre généalogique


 
 
 
 
 
Nicolae Gh. Socol (18??-1872) architecte
 
 
 
Ioana Săndulescu
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Alexandrina Nicolau (1860-1900)
 
 
 
Toma N. Socolescu (1848-1897) architecte et constructeur à Ploiești
 
Nicolae N. Socolescu négociant en bois
 
Ghiță N. Socolescu artiste-peintre, décédé lors de ses études supérieures
 
Ion N. Socolescu (ro) (1856-1924) architecte
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Florica Tănescu (1887-1969)
 
Toma T. Socolescu (1883-1960) professeur-architecte
 
Florica T. Socolescu
 
Smaranda T. Socolescu
 
Ioan T. Socolescu
 
Coralia-Ioana-Margareta T. Socolescu
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Mircea Socolescu (1907-1978) installé en France en 1945, marié sans enfants
 
Toma Gheorghe Barbu Socolescu (1909-1977) architecte
 
Irena Gabriela Vasilescu (1910-1993) artiste peintre, professeur
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Mihai Ștefan Marc Socolescu (1942-1994) professeur
 
Maria Lois (1942-2021) professeur
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Laura Socolescu (1967) installée en France - artiste chorégraphe, danseuse
 


 

Réalisation architecturales

  • Décoration intérieures du paquebot Normandie en 1936, sous la direction du professeur d'architecture Roger-Henri Expert[1],[e 1].
Intérieur du paquebot Normandie, 1935
  • Villa du Dr Gheorghiu à Breaza (Prahova), en 1940[1],[d 1].

Constructions civiles et industrielles

La quasi totalité des projets réalisés par Barbu Socolescu se font dans le domaine industriel et particulièremet dans l'industrie agro-alimentaire[e 7],[6],[2],[d 1].

  • Immeuble de logement des employés de la mine de sel de Slănic (Prahova) (Salina Slănic), en 1942.
  • Ensemble social et cantine de la commune de Ghimpați, județ de Giurgiu, en 1942.
  • Halle de fabrication et de dépôt de fermentation des tabacs de la Casa Autonomă a Monopolurilor al Regatului României[4], à Râmnicu Sărat et à Târgu Jiu, en 1943.
  • Dépôt de sel à Ocna Mureș, județ d'Alba, en 1943.
  • Locaux administratifs, logements de fonction et dépôts de la Casa Autonomă a Monopolurilor al Regatului României[4] à Fălticeni, județ de Suceava, en 1943.
  • Fabrique d'huile à Craiova, en 1949.
  • Fabrique de ciment de Bicaz, en 1951.
  • Divers ouvrages pour les cimenteries Medgidia et Fieni : atelier mécanique, réservoir de pâte de ciment, cantine, pavillon administratif, en 1951.
  • Un abattoir à Ploiești, en 1958.
  • De nombreuses autres constructions industrielles jusqu'en 1966, dont la grande fabrique de conserves de légumes Ovidiu (devenue Munca Ovidiu) à Ovidiu près de Constanța en 1962[d 2]. Le projet s'étale en réalité entre 1955 et 1966. L'usine s'aggrandit en effet, à partir de 1966, pour accueillir une chaine d'embouteillage Pepsi-Cola[12],[d 1], l'une des deux seules unités de production du pays, l'autre étant située à Bucarest. La manufacture fit faillite en 2005 et fut liquidée[13]. Toute l'usine a été vidée de ses machines-outils, seuls restent encore bien reconnaissables (en ) le bâtiment et ses structures métalliques, malgré des agrandissements et modifications. Elle est située dans un carré délimité par la strada Tulcea et la strada Intrarea petrolului.

Projets d'architecture conçus mais non exécutés

Esquisse d'un projet de casino pour la rafinerie Astra Romana, Ploiești, Roumanie, 1937
Esquisse d'un projet de casino pour la rafinerie Astra Romana par Toma T. & Toma Barbu Socolescu, Ploiești, Roumanie, 1937

Bibliographie

  • (ro) Gabriela Petrescu, architecte à Bucarest, ARHITECȚII SOCOLESCU 1840-1940, Studiu monografic[14], Editura Simetria, Bucarest, 2024, 1 vol., 232 pages, (ISBN 978-973-1872-55-1), un livre dédié aux architectes Socolescu.
  • (ro) Revue , Arhitectura[15], éditée par la SOCIÉTÉ DES ARCHITECTES ROUMAINS[16], Bucarest, publiée de 1906 à 1944[17]. Pendant la période communiste, elle change deux fois de nom: Arhitectura RPR de 1960 à 1968, puis Arhitectura de nouveau à partir de 1968.
  • (en) International Who's who in Art and Antiques - Second Edition, Ernest Kay (Directeur Editorial), Great Britain, Melrose Press Ltd, 1976, 525 p. (ISBN 0-900332-37-9).

Autres sources

  • Archives de l'UAR (Union des architectes de Roumanie) - Archives documentaires de l'UAR (consultables sur place sur demande), Bucarest.
  • Archives de l'école des Beaux Arts de Paris / AGORHA - Plateforme de données de la recherche de l'Institut national d'histoire de l'art / Dictionnaire des élèves architectes de l’École des beaux-arts de Paris (1800-1968) - Base de donnée du dictionnaire, Paris.
  • (ro) Bibliothèque de l'Université d'architecture et d'urbanisme Ion Mincu, Bucarest.
  • Archives de la famille Socolescu (Paris, Bucarest) dont un fonds photographique.

Articles connexes et liens externes

  • (ro) Collège technique d'architecture et de travaux publics Ioan N. Socolescu

Notes et références

  • (a) (ro) Toma T. Socolescu, Arhitectura în Ploești, studiu istoric[18], Editura : Cartea Românească, Bucarest, Préfacé par Nicolae Iorga, 1938, 111 pages, référence : 16725.
  1. Traduction du roumain d'un passage de la page 37.
  2. pages 105-106.
  • (b) (ro) Toma T. Socolescu, Amintiri[19], Editura Caligraf Design, Bucarest, 2004, 1 vol., 237 pages, (ISBN 973-86771-0-6).
  1. note 8 - page 15.
  2. page 14 - Toma T. Socolescu écrit vers 1950 :
    « Mon grand-père, Nicolae Gh. Socolescu, également architecte, ayant fait ses études à Vienne, était un descendant d'une famille qui, par un ancêtre lointain, avait été anobli, en 1655, par le prince G. Rakoczy. Le document original écrit en peau de veau, en latin, avec des lettres d'or et l'emblème de la famille en couleurs, lacé et portant le sceau princier en cire rouge, est en la possession du major S. Socol, ancien maire de la ville de Făgăraş, où il vit.
    N. G. Socolescu (Socol, en Ardeal) est venu en Munténie de la commune de Berivoiul Mare (ro), située au pied des montagnes dans la région de Făgăraș, et s'est installé à Ploieşti, avec ses cinq autres frères, - au moment de la révolution, vers 1846, - à savoir dans le faubourg de Sf. Spiridon. Pendant mon enfance et jusqu'à plus tard, existait sa maison à Culea Căleni, une maison avec un rez-de-chaussée, de forme générale carrée, en retrait de la rue et entourée d'un jardin. Il a épousé Ioana, née Săndulescu, du même faubourg, et son nom apparaît parmi les fondateurs dans les registres paroissiaux ; et comme il était d'usage à cette époque, je pense qu'il y fut aussi enterré, - bien que les recherches que j'ai faites soient restées infructueuses, - en 1872. »
    (Traduction française).
  3. page 6.
  • (c) (ro) Mihail Sevastos (ro), Monografia orașului Ploești[20], Editura : Cartea Românească, Bucarest, 1937, 905 pages.
  1. Traduction du roumain d'un passage de la page 177.
  2. pages 214-215.
  • (d) (ro) SOCIÉTÉ DES ARCHITECTES ROUMAINS (SAR)[16], revue d'architecture Arhitectura, publiée de 1906 à 1944. Pendant la période communiste elle change deux fois de nom: Arhitectura RPR de 1960 à 1968, puis Arhitectura de nouveau à partir de 1968.
  1. a b c d e et f (ro) Revue Arhitectura, Nécrologie de l'architecte parue en 1977, page 8.
  2. a et b Revue Arhitectura RPR, Arh Barbu Socolescu, Fabrica de conserve Ovidiu din Constanta, 1964, année XII, Nr2, pages 5-7.
  • (e) (ro) Gabriela Petrescu, architecte à Bucarest, ARHITECȚII SOCOLESCU 1840-1940, Studiu monografic[14], Editura Simetria, Bucarest, 2024, 1 vol., 232 pages, (ISBN 978-973-1872-55-1).
  1. a b c et d page 192.
  2. a b c et d page 193.
  3. a et b pages 186, 192-193, 205 et 206.
  4. page 194.
  5. page 17 - Dimitrie Papazoglu, Istoria fondărei oraşului Bucureşti, Bucureşti, Curtea Veche, 2005, p. 59.
  6. Traduction du roumain d'un passage de la page 17 - Constantin Stan, Şcoala poporană din Făgăraş şi depe Târnave,Volumul.I, Făgăraşul. Sibiu, Tiparul institutului de arte Grafice „Dacia Traiană”, 1928, p. 151.
  7. pages 192 et 193.
  8. page 205.
  • Autres notes et références :
  1. a b c d e f g h et i Biographie de l'architecte disponible sur le site AGORHA (Plateforme de données de la recherche de l'Institut national d'histoire de l'art), Marie-Laure Crosnier Leconte - Socolescu, Toma Barbu.
  2. a b c d et e (ro) Dossier d'inscription à l'Union des architectes de la RPR, le 25 février 1953, procès verbal d'approbation des 3 et 10 avril 1953, page 2.
  3. a et b (ro) Archives de l'UAR, Ministère de l'Education Nationale, des Cultes et des Arts, Direction Générale de l'Enseignement supérieur, Dossier d'inscription et commission de révision, Ref 1034/1940, fiche 429-2.
  4. a b et c Caisse Autonome des Monopoles du Royaume de Roumanie
  5. (ro)Ministerul Gospodariei locale
  6. a b c d e f g et h (en) International Who's who in Art and Antiques - Second Edition, Ernest Kay (Directeur Editorial), Great Britain, Melrose Press Ltd, 1976, 525 p. (ISBN 0-900332-37-9) - page 358.
  7. Le lycée changera plusieurs fois de nom jusqu'en 2001 pour porter le nom de son grand-oncle Ion N. Socolescu : ro:Colegiul Tehnic de Arhitectură și Lucrări Publice Ioan N. Socolescu.
  8. Archives CNSAS - Consiliul Naţional pentru Studierea Arhivelor Securităţii (Conseil National pour l’Étude des Archives de la Securitate), dossier 53442 Barbu Socolescu, décision du parquet militaire du 2 novembre 1965.
  9. (ro) Article Mihai Viteazul, Enciclopedia României - Mihai Viteazul, Originea şi familia.
  10. (ro) Inscription de la croix située sur la pierre tombale de Răzvadu de Sus : « S'est éteinte la servante de Dieu Marula, Dame Intendante de Messire Socol, ancien Grand Intendant, fille de feu le Prince Mihai et de Dame Tudora, en l'an 1647, sous le règne du Prince Ion Matei Basarab, au mois de décembre, le 17e jour, vers la dixième heure de la nuit, calendrier solaire de la 21e année. », traduit en français d'après la version roumaine faite par G.D. Florescu en 1944 à partir de la version originale en slavon : « A răposat roaba lui Dumnezeu Marula clucereasa jupanului Socol fost mare clucer, fiică a răposatului Io Mihai Voevod și a jupînesei Tudora la anul 1647 în zilele lui Ion Matei Basarab voevod în luna decembrie 17 zile spre al zecilea ceas din noapte crugul solar temelia 21. »
    (ro) FLORESCU, G.D., "Un sfetnic al lui Matei Basarab, ginerele lui Mihai Viteazul", dans Revista istorică română, XI–XII, 1941-1942, pages 88-89.
  11. Toma N. Socolescu
  12. (ro) Article Cum a ajuns Pepsi pe piața românească în anii ’60. Băutura capitalistă se dădea la schimb cu vin, vodcă sau nave (Comment Pepsi est arrivé sur le marché roumain dans les années 1960. La boisson capitaliste était échangée contre du vin, de la vodka ou des bateaux), Marianu Iancu, journal Adevarul du 10/06/2023 - Cum a ajuns Pepsi pe piața românească în anii ’60. Băutura capitalistă se dădea la schimb cu vin, vodcă sau navede.
  13. (ro) Articles de presse: - Munca Ovidiu, intra în faliment (Munca Ovidiu déclarée en faillite), Darius Martinescu, journal Romania Libera du 24/06/2005 - Munca Ovidiu, intra în faliment.
    - Fabrica „Munca Ovidiu”, taiata la fier vechi ("Munca Ovidiu", découpée pour la feraille), Darius Martinescu, journal Romania Libera du 26/10/2005 - Fabrica „Munca Ovidiu”, taiata la fier vechi.
    - Faliment la Munca Ovidiu (Faillite à Muca Ovidiu), Lavinia Siclitaru, journal Ziua de Constanța, du 18/11/2005 - Faliment la Munca Ovidiu.
  14. a et b Traduction : 'Les architectes Socolescu 1840-1940, Étude monographique'.
  15. traduction : 'l'Architecture'.
  16. a et b Fondée par son grand oncle Ion N. Socolescu (ro) en 1891 et devenue l'Union des architectes roumains (UAR) Site de l'UAR, historique.
  17. Tous les numéros de la revue sont consultables :
    • (ro) à la Bibliothèque de l'université d'architecture et d'urbanisme Ion Mincu - Page où tous les numéros sont consulable (pdf).
    • (ro) à la Bibliothèque Centrale Universitaire Carol I de Bucarest.
  18. Traduction : 'l'Architecture à Ploiești, étude historique'.
  19. Traduction : 'Mémoires'.
  20. Traduction : 'Monographie de la ville de Ploiești'.
  • icône décorative Portail de la Roumanie
  • icône décorative Portail de l’architecture et de l’urbanisme
  • icône décorative Portail de l’histoire de l’art