Henri Seyssel d'Aix

Henri de Seyssel d'Aix
Fonctions
Annual mayor of Turin
avec Ignazio Michelotti (d)
-
Annual mayor of Turin
avec Giuseppe Sobrero (d)
-
Biographie
Naissance
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TurinVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 67 ans)
TurinVoir et modifier les données sur Wikidata
Surnom
Comte de SeysselVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Famille
Maison de SeysselVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Victor-Amédée de Seyssel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Madeleine-Mathilde Piossasco di Scalenghe
Fratrie
Thomas de SeysselVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Luigi Seyssel d'Aix (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinction
Commandeur de l'ordre des Saints-Maurice-et-LazareVoir et modifier les données sur Wikidata

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Henri [de] Seyssel d'Aix (en italien Giuseppe Enrico [di] Seyssel d'Aix), dit comte de Seyssel (Turin, – Turin, ) est un homme politique italien, d'origine savoyarde, des XVIIIe et XIXe siècles, syndic de Turin en 1820, puis en 1832. Il est issu de la famille de Seyssel.

Biographie

Origines

Henri Joseph de Seyssel naît à Turin (Piémont), le [1]. Il est le fils de Victor-Amédée (1747-1819), 21e seigneur d'Aix, 9e marquis d'Aix et de Sommariva del Bosco, comte de Châtillon, et de sa seconde épouse, Madeleine-Mathilde Piossasco di Scalenghe[1],[2]. Il est issu d'une fratrie de cinq enfants, dont Thomas[2], héritier des titres, fait comte de l'Empire et député du département du Pô au Corps législatif.

En 1808, il épouse Maria Cristina Ferrero della Marmora, fille du marquis Celestino et Raffaella Argentero di Bersezio[1],[2]. Ils ont deux enfants : Alphonse-Victor (Alfonso Vittorio), comte de Seyssel, et Louis-Célestin (Luigi Celestino), soldat de carrière et participant aux guerres d'indépendance italiennes (dont descendance)[2].

Carrière

Docteur en droit[2], il devient membre du Conseil des édiles (1826-1832), puis directeur adjoint de l'administration de la dette publique (1820)[2]. Il est désigné, pars deux fois, syndic de Turin, une première fois en 1820 aux côtés de Giuseppe Sobrero, puis une seconde en 1832, avec Ignazio Michelotti[2].

En 1835, il est nommé commandeur de l'ordre mauricien[2].

Il a été nommé par Victor-Emmanuel Ier comme directeur de l'Armurerie Royale de Turin[1].

Henri Seyssel meurt à Turin le [1].

Décorations

Notes et références

  1. a b c d et e Seyssel-Cressieu 1900, p. 209 (lire en ligne).
  2. a b c d e f g et h Jules de Mouxy de Loche (1837-1902), Histoire d'Aix-les-Bains, Imp. Savoisienne, coll. « Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie », , 678 p. (lire en ligne), p. 215-216.

Voir aussi

Bibliographie

Marc de Seyssel-Cressieu, La maison de Seyssel : ses origines, sa généalogie, son histoire d'après les documents originaux, t. 2, Grenoble, Allier frères, , 569 p. (lire en ligne), p. 210-214. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

Articles connexes

Liens externes

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